L’étude, menée par le docteur Renaud de Beaurepaire (Groupe hospitalier Paul-Giraud à Villejuif), montre que la part des patients devenus abstinents ou ayant une consommation normale sous baclophène était de l’ordre de 50% à toutes les évaluations effectuées à 3 mois, 6 mois, 1 an et 2 ans.