Un ver marin pour sécuriser les greffes
Enfin un bonnet rouge utile !




Un tout petit ver marin pourrait s’avérer être la solution de demain aux risques de rejet de greffon

Une start-up bretonne vient de rendre publique une découverte qui pourrait bien révolutionner les greffes d’organes. La société Hemarina, installée à Morlaix affirme qu’un ver marin, l’arénicole pourrait fournir une molécule capable d’acheminer 50 fois plus d’oxygène que l’hémoglobine humaine, limitant ainsi les risques de rejet.

Cette découverte laisse le champ libre à bien d‘autres utilisations, notamment la fabrication de pansements thérapeutiques, capables de soigner des plaies chroniques.