Aspartame et prématurité
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Accusé de tous les maux, l’aspartame provoquerait aussi des naissances prématurées.

Depuis son autorisation en France en 1988, l’aspartame est accusé de tous les maux de la terre sans qu’aucune preuve scientifique n’ait cependant jamais pu étayer les graves attaques dont il fait l’objet.

Cette fois, des scientifiques, des pédiatres et des gynécologues ont adressé un courrier à Xavier Bertrand pour que les autorités avertissent les femmes enceintes sur le risque d’accouchement prématuré dont serait responsable l’édulcorant honni.

C’est le Réseau Environnement Santé qui a tiré le signal d’alarme, citant une étude danoise (publiée il y a plus d’un an) mettant semble-t-il en évidence un taux plus élevé de « naissances prématurées tardives » (entre la 32e et la 36e semaine de grossesse).